Année I 1988
Km au compteur I 89 045 km
Couleur carrosserie I Noir
Couleur intérieur I Noir
Puissance DIN I 290 Ch
Suite au succès de la 308 GTS grâce à son tarif plutôt raisonnable, Maranello décide de faire évoluer sa Berlinette V8. Son attribut 328, appellation classique de la marque est tirée de la cylindrée moteur augmentée par rapport à la 308 pour atteindre 3.2 litres et de son architecture V8. La 328 s’embourgeoise pour gagner en équipements de confort et de sécurité.
Mise en circulation le 23 juin 1988 par l’importateur Ferrari belge Francorchamps avec un totalisateur affichant un kilométrage de 89 045 kilomètres.
Le V8 de 3,2 litres équipé de 32 soupapes développe 270 chevaux, soit 30 de plus que sa devancière et entre en vie sans problème, n’émet aucune fumée suspecte, se stabilise rapidement et demande simplement une utilisation douce le premier quart d’heure de conduite pour laisser exploiter toute sa plage d’utilisation. Une fois lancée, la poussée est franche, linéaire et sans creux de puissance. La fantastique bande-son participe à l’expérience de conduite, sans être trop envahissante.
La boîte de vitesses, plus légère et facile d’utilisation que beaucoup d’autres Ferrari équipées de ce type de transmission, se laisse facilement manipuler avec un feeling ferme
et très métallique.
En terme de maintenance, la voiture a toujours été entretenue au sein du Garage spécialiste Ferrari, Caldéroni à Lyon depuis 2005. Un entretien à été réalisé il y a en novembre 2022 à 88 639 kilomètres, comprenant un entretien, le changement des courroies et plus d’éléments sur demande.
Même si la ligne globale est très similaire à celle de la 308, de nombreux éléments sont modifiés, comme les pare-chocs peints couleur carrosserie et les phares.
Mais à part celà, l’évolution reste très subtile esthétiquement. L’élégant Nero Metallizzato habille l’extérieur et offre une bonne brillance et se présente dans un très bon état de conservation. Les feux avant (escamotables) et arrière sont en état de marche et ne présentent aucun défaut.
En termes de corrosion, aucune trace de rouille n’est à déplorer au niveau des soubassements, des passages de roue ou de la carrosserie grâce à une coque entièrement galvanisée d’origine..
L’intérieur, en très nette amélioration de la qualité de finition de couleur Nero Daytona participe à la sobriété de la configuration et se présente dans un excellent état général. Les cuirs des sièges ainsi que leur assise est très bonne et ne présentent aucune traces d’usure prononcées. Le tableau de bord est également en très bon état de conservation, aucune fissure ou déchirure ne sont à déplorer, au même titre que les tapis. L’instrumentation sur fond noir en état de marche est très lisible. Mais la commande la plus importante se situe au niveau du tunnel de tableau de bord, la grille en H inversée, assez facile d’utilisation une fois portée en température et surtout idéalement placée en hauteur, proche du volant. De nombreux éléments de confort et de sécurité font leur apparition par rapport à la 308, comme la climatisation. On notera également l’arrivée de l’ABS dès 1988 dont notre modèle bénéficie.
En termes de pneumatiques, les Bridgestone de dimension 205/55 ZR16 à l’avant et 225/50 ZR16 à l’arrière sont en bon état et affichent une faible usure. Le freinage ne manque pas de mordant et les disques sont en bon état et ont été contrôlés.
// Très bon état de conservation
// Excellent état général
// Bon état
// Faible usure
Suite au succès de la 308 GTS grâce à son tarif plutôt raisonnable, Maranello décide de faire évoluer sa Berlinette V8. Son attribut 328, appellation classique de la marque est tirée de la cylindrée moteur augmentée par rapport à la 308 pour atteindre 3.2 litres et de son architecture V8.
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